Petite pause au bord de l'eau

*Après plusieurs heures de marche dans la forêt entre les arbres centenaires et les fourrés remplis de bêtes sauvages à la recherche de viande pour le repas du soir, je m'accroupis au bord de l'eau d'une rivière pour m'abreuver. Ma gorge était sèche vu la température qui régnait sur le pays malgré l'ombre que faisait le feuillage des chênes. La fraicheur de l'eau me mordit les doigts ce qui me permit de me rafraichir.

Lorsque je fus désaltérée, je me perdis malheureusement dans mes pensées à cause de la vision de mon visage dans la surface clair voyante. Tout mes combats, mes meurtres me revenaient en mémoire. Même si je faisais croire que cela ne me faisait rien de tuer, les visages des victimes me hantèrent. Pourquoi avais-je suivit ce chemin? Je ne sais pas trop, peut être pour un monde meilleur, puisque la plupart du temps, ce que je tuais avaient désobéit aux règles et devaient donc être punis, malgré que ce ne soit pas la meilleure des punitions. Au moins, on était sur qu'ils ne recommenceraient plus. Puis, le visage de Katsu' me revient en mémoire, c'était aussi pour elle que je faisais ça, je voulais aussi l'aider du mieux que je peux comme elle l'avait fait étant petite pour moi.

Une fois assise confortablement sur un rocher, un genou relevé, mon regard se perdit dans le ciel. A ce moment là, je me mis à me poser un tas de questions. Était-c vrai qui des dieux se trouvaient là haut? Me regardaient-ils à ce moment là? Et surtout, pourquoi ne cherchaient-ils pas à faire un monde meilleur? A près tout, c'étaient eux qui sont supposé avoir créé ce monde et les humains. Si ils les aiment tant que ça, pourquoi avoir créé des sentiments comme la jalousie, la haine, la tristesse ainsi que des guerres? Ou étaient-ce les hommes qui ont besoin de trouver une raison de se battre?

Je rêvais d'un monde en paix, à rire avec mes amis, même si le nombre se limitait à un, à vivre des jours heureux avec une famille que j'aurais fondé mais le temps qui courait ne me le permettais pas alors je m'imaginais cette vie en contemplant la voute céleste.

J'imaginais mon mari me regarder avec des yeux tendres, tout en me soufflant des mots banals mais qui avaient tout leur charme sous la douceur de sa voix. Mon jeune fils courant dans les champs de blé, jouant ainsi au jeu enfantin nommé "chat" avec sa cadette.Nous vivrions des jours heureux dans notre maison à la campagne, loin de la ville mais je savais que cela était impossible...

Soudain, je vis une étoile filante, le moment de faire un vœu. Je voulais d'abord souhaiter une vie paisible avec une famille mais je m'aperçus que mon vœu était égoïste et vide de sens tant que la guerre serait sur le continent alors je souhaita la paix dans le monde malgré que ce soit un souhait plutôt idéaliste vu les circonstances des temps modernes.*

La forêt.. Mort et vie se confonde ici, comme partout, mais ce qui différenciez cet endroit, c'était l'air, un air pur, un air de paix, sans guerre, juste peut-être du danger. Il faut l'avouer, Break préférait aller ici pour se reposer plutôt que d'aller sur la plage, dut à son dégout pour la mer. C'est d'ailleurs ici qu'il était aujourd'hui, sûrement pour se reposer de toute ses obligations. Paperasse, organisation de guerre, d'armé de batailles, il en avait assez, cela le dégoutait grandement de devoir diriger une armée de meurtrier, mais il savait bien qu'au fond, ce n'est que par la guerre qu'on pouvait esperer la "paix". Serait-ce si difficile de l'avoir ? Surement, mais il refusait de croire que cette entreprise était impossible. Après tout, il y a eut un temps de paix à Akushon, oui, lorsque tout les peuples furent unifié en une seul bannière, celle de Aelys. C'est le rêve que souhaitait Break, pour le bien de son fils Adam, pour le bien des fils des autres Aylesiens, mais aussi pour le bien des Océrianniens, et même des JetRanniens. Malheuresement pour y arriver, il n'avait pas le choix, il devait détruire JetRan, qui se refuserait à l'alliance.

Mais ce n'est pas pour penser à ça que Break est venue dans la forêt. Au contraire, il voulait juste s'asseoir, près du cheval qu'il avait volé depuis des lustres déjà, et entendre les oiseaux chanté. Mais il ne faut pas mentir, il est bien trop difficile d'oublier quelque chose quand on passe des nuits blanches à travailler. C'était surtout cette histoires dans le desert qui l'intriguait, un imprévue dans son plan, aussi devait t-il vite partir à la rencontre de ce lieux, le lendemain peut-être ? Prenant une sucette, orange, il s'assied, puis s'endormie dans la broussaille. 1 heure plus tard, il entendit quelque chose, ou plutôt avait une impression. Il n'était plus seul dans cet forêt. Aussi se leva t-il, laissa ses armes sur son cheval à part un cure dent et se dirigea vers l'endroit ou il sentait une présence. Très discret, marchant lentement, il aperçut quelques mètre pus loin une jeune fille, brune, assez belle, correspondant à un profil que Break avait déjà eut l'occasion de voir dans les document top secret de Aelys. C'était bien celle que Break avait mis pour cible pour l'un de ses assassins. D'ailleurs, son assassin n'est jamais revenue. Sûrement tué par la dent qu'il lui avait mise en son sommeil, une dents empoisonné pour qu'il ne parle pas. Bon, qu'elle ne soit pas morte, pas grave, ça aurait été un bonne essaie. Il n'allait essayer de recommencer, cela serait fatiguant, et sûrement inutile. De plus, l'issue serait peut-être fatal pour lui. Au lieu d'essayer de la tuer, peut-être fallait-il essayer de la connaitre, pour le fun dirait t-on. Aussi il s'en alla au loin, loin d'elle pour disparaitre dans le noir.

"-Il fait beau temps vous ne trouvez pas ?

Lacha Xerses, juste à côté de la jeune fille, allongé sur l'herbe à quelque centimètre d'elle.

*Je continua ma contemplation du ciel, toujours perdue dans mes rêves de paix et d'harmonie malgré l'impossibilité que ça se réalise lorsque je sentis une présence près de moi. Je me mis tout de suite à croire que mon moment de tranquillité était fini. La voix de l'inconnu confirma ce que je pensais.

-Il fait beau temps vous ne trouvez pas ?

Parlait-il vraiment de temps? Je ne le serais dire, surtout qu'on ne parle pas de ça à une inconnue. Pour ne pas manquer de respect, je me força à répondre, dissimulant ainsi une menace, surtout que j'abhorrais qu'on me dérange dans ma méditation

-Oui mais vu à l'allure que les nuages arrivent, il risque d'avoir de l'orage...

Si il ne comprenait pas l'avertissement, tant pis pour lui. Et puis, que faisait un homme seul ici? La forêt n'était pas très sûre entre autre de nos temps.*

En effet, Break ne parlait point du beau temps, sa phrase était bien plus profonde, le beau temps, le moment de paix et de vie, mais surtout de repos, ah le repos, quelle soulagement, lorsque l'on dort, nous somme peut-être comme en extase pur. Pour Break, c'était le cas, mais quand trouvera t-on le repos éternel ? L'extase ultime ? La réponse à double sens de la jeune fille au yeux noir brillant, dissimulait une menace, sûrement de mort rapide, et comme tout bonne assassin de guilde, sous la trachée, il était sur qu'il ne valait mieux pas que l'orage se déclenche, ni même la pluie, car il était évident pour Xerses, que cette fille, était une barique de poudre, dont l'étincel, aussi petite soit-elle, tel une petit poussière brillante de braise, pourrait provoquer au contact du conteneur de poudre une grande explosion mortelle. Ceci était sûrement du au fait que elle aussi méditait à se reposer. Et il comprenait parfaitement que l'on soit en colère en étant déranger dune parfaite situation. Mais comme ce n'était pas son cas, il se permettait. Aussi, allait-il laisser par politesse la dames... Ou pas, affichant son sourire habituelle, et équipé de Emily à l'épaule, et s'inclina tel un protecteur ferai à son roi, puis dit :

"Je vois que vous êtes en repos, laissez moi me retirer histoire que vous vous reposiez. Juste une chose, est-ce que l'assassin que j'ai envoyé vous tuez à au moins réussie à entrer au QG ?"

*"Je vois que vous êtes en repos, laissez moi me retirer histoire que vous vous reposiez. Juste une chose, est-ce que l'assassin que j'ai envoyé vous tuez à au moins réussie à entrer au QG ?"

C'était donc lui qui avait envoyé un assassin pour me tuer. Qu'importe, son assassin n'avait pas fait long feu, je m'étais vite chargé de lui. Je n'allais pas mourir si bêtement avant d'avoir fait ma part du travaille.

Je me tourna vers lui, comme je ne l'avais pas encore fait. Ce qui me marqua le plus, c'était son sourire même si je ne laissa rien paraitre, telle un mur de glace. Son sourire ne présumait rien de bon, vu qu'il laissait penser qu'il se moquait de moi. Peut importe, ça m'était égal.

Je ne préférais pas répondre à sa question, je posa plutôt mon regard vide d'émotion sur son visage, croisant ainsi son regard. Après tout, j'avais l'impression d'avoir perdue une partie de moi dans mes combats. J'agissais maintenant sans émotion, pareil à une poupée de chiffon ou à une marionnette, tout dépend du point de vue.*

Point de réponse de la part de Shiori, juste un regard, un silence, pas un bruit, juste un regard, que même le plus grand des artistes aurait des cauchemars à le dessiner. Ce regard, un regard de mort, d'intrigue, mais surtout de sang, et de tristesse. Même si il n'en laissa rien paraitre avec son sourire de clowns, Break était à la fois surpris et triste de ce regard, un regard d'un tueur, d'un assassin. Au fond, après tout, elle et lui était pareil à un point, un passé remplie d'âme emporté. Leur raison, leur but, leur façon de penser, d'agir, tout était différent, mais ces âmes, ses âmes tué par meurtre, ne cessait, elle comme pour lui, de repasser dans leur tête, et pour le cas de l'assassine, dans leurs yeux. Une profonde peine s'installa en Xerses, ou plutôt une pitié, qui sait ? Il réfléchissa, qui aurait pu lui pousser au meurtre, son meneur ? Sûrement, surtout que d'après les rumeurs, celle ci entretiendrai une relation plus que simple ami, peut-être soeur ? Finalement, Break stoppa sa marche au loin, et dit, au risque de as vie :

"L'amitié totale est universelle. Et seule l'amitié universelle peut être une amitié totale. Tout lien particulier manque de profondeur, s'il n'est ouvertà l'amitié universelle, mais penser aussi à la loi de la relativité. Je sais, d'après mon informateur que celle qui vous donne des ordres de meurtre, se nomme Katsumi, mais en tuant elle même, ne s'est t-elle pas transformer en monstre ? Rappeller vous que lorsque l'on tue, celle que l'on croyait connaitre n'est plus la même, elle ne devient que plus tard, et pour le reste de la vie, de la folie, et celle qui soutient sa folie par le meurtre, est une fanatique."

"L'amitié totale est universelle. Et seule l'amitié universelle peut être une amitié totale. Tout lien particulier manque de profondeur, s'il n'est ouvert à l'amitié universelle, mais penser aussi à la loi de la relativité. Je sais, d'après mon informateur que celle qui vous donne des ordres de meurtre, se nomme Katsumi, mais en tuant elle même, ne s'est t-elle pas transformer en monstre ? Rappelez vous que lorsque l'on tue, celle que l'on croyait connaitre n'est plus la même, ce plus que de la folie, et celle qui soutient sa folie par le meurtre, est une fanatique."

Que savait-il de moi? Pour qui se prenait-il pour me dire ça? Si je tuais, c'était parce que je voulais un monde meilleur et non parce qu'on me le demande. C'était rare que mon amie me demande de tuer, c'était moi même qui prenait l'initiative de commettre ses meurtres. Je n'avais qu'une seule amie et s'était elle, pour rien au monde je la lâcherais, je dessertirais ma patrie, quitte à sacrifier mon bonheur...

Je bondis sur mes pieds, à une vitesse qui faisait contraste avec ma réaction de tout à l'heure. Les paroles de cet homme m'avait rappelé pourquoi j'avais suivit cette voie. Je n'avais aucune raison de me morfondre sur mon sort, je devais penser aux bonheurs des autres.

Après tout, je devais changer les choses et ce n'est pas en restant assise que je réussirais. Le monde que nous connaissons aujourd'hui allait rentrer dans une ère nouvelle et je serais au première loge.

Je fis un imperceptible mouvement, lançant ainsi une lame qui se logea dans un tronc, à quelques centimètres de mon interlocuteur. Ce geste fut pour attirer son attention

-Vous ne sais pas de quoi vous parlez. Après tout, vous n'avez pas l'air d'avoir pas beaucoup d'ami, vu votre regard. Et vu vos manières d'agir, vous êtes aussi souillé par le sang...

Avoir beaucoup d'amis... Cette affirmation était ce qu'on pourrait qualifier de "demi vérité", car l'amitié, pour lui, ou plutôt envers lui, n'allait que dans un sens. En effet, cet affirmation demi vrai, ou demi fausse peu importe, faisait apparaitre en Break une question assez intelligente. Qui était ses amis ? Personne, sûrement, il n'aimait personne, et il aimait tout le monde, à la fois philosophe, il ne peut s'empêcher de vouloir protéger tout autrui, mais à la fois meurtrier, et démon, il ne peut aimer personne. Certain, des hauts dignitaires de Aelys, et même le roi en personne, peuvent considère Break comme ami, en raison de son air amicale, et ses actions, ou services, noble en Aelys, mais cela n'était pas réciproque. Avait t-il déjà connu l'amour après sa tentative de suicide ? Ou peut-être un soupçon de compassion, aussi fin soit-il ? Oui, il y a une personne que Break veut protéger, son fils, Adam, pour qui il est prêt de faire un monde meilleur, mais il n'eut le temps d'aller plus loin dans sa réflexion, il devait répondre à son interlocuteur. Pour ce faire, il sentit un besoin de révoquer le passé :

"-Effectivement, l'amitié est une priorité seconde chez moi, quoique plus jeune, aussi bête que j'étais, j'en avais beaucoup. Aujourd'hui ils sont mort, veillesse, guerre, ou même meurtre secret, victime de complot humain. Je me rappelle, l'un d'eux était devenue un assassin, et pour l'empêcher d'emporter d'autres âme, je l'ai tué. C'était la première personne que j'avais tué, un ami, vous le croyez, un de mes meilleurs. Mais si je ne l'avait pas fait, qui sait ? Le monde ne serait-il pas bien pire ? Peut-être... Ce meurtre fut suivi par beaucoup d'autre, et je sais que si Dieu existe, il ne m'accordera jamais le pardon. Malgré ça, je n'ai qu'une envie, de mourir, même si cela m'est impossible pour l'instant. Vous qui avez l'habitude de tuer, qu'est ce qui vous à empêcher au suicide ? La folie ? Ou l'amitié ?"

*Malgré la tristesse de son passé, je ne peux éprouver quelconque sentiment de compassion. Il ne pouvait en aucun cas juger l'amitié que j'avais pour Katsu' si lui même n'avait pas d'ami. Je ne m'étais jamais attaché à quelqu'un à par elle comme je savais que je risquais de mourir à chaque instant. D'ailleurs, cette pensée ne me fit pas frémir, chaque chose a une fin, tout le monde doit mourir un jour, même moi. Mais je refusais de mourir avant la fin de cette guerre.

Je retourna près de l'inconnu, récupérer ma lame avant de faire face à l'homme. Maintenant, j'avais repris de ma vivacité et je le regarda de mon regard noir et froid d'une nuit d'hiver sans lune.

-Alors comment pouvez vous juger de l'amitié si vous n'y connaissez rien? Je n'y connais pas grand chose non plus mais plus que vous en tout cas...*

Ne pas connaitre l'amitié, Break ne la connait que trop, ou plutôt l'avait. Apparamment, on n'avait pas compris son messages donné, pas grave, après tout, cela ne vas changer grand chose que l'on sait en quoi il s'y connait ou pas. Le regard de la jeune femme repris de l'ampleur, de l'assurance, de l'agressivité même, fini de jouer, elle avait repris son sérieux d'assassin, ou comme dirait-on, son attitude professionnelle. Puis, après une réflexion philosophique avec qu'elle, voilà qu'elle pris à l'occasion une arme. Par définition dans le dictionnaire, les armes servaient à tuer, aussi, la situation tourna au désavantage, ou plutôt au péril de Break. Lui qui ne pensait pas en arriver là, il ne devait pas se fatiguer pour le moment. Quoique peut-être, un petit échauffement serait la bienvenue, aussi, il pris de son sac haut comme trois pomme, le mis par terre, puis sortit de celui-ci une énorme cuisse de porc à jambon. En même temps, il changea de sucette, puis pointa la cuisse vers Shiori :

"-Echaffons nos art, histoire ne ne pas perdre de l'experience."

*Décidément, j'étais tombée sur quelqu'un de pas net, pour sortir une cuisse de porc en pleine discussion... Pas perdre de l'expérience, et puis quoi encore. Et puis, se battre avec une sucette dans la bouche... C'était un coup a s'étouffer en avalant le bâton. Mais la vie m'avait apprit qu'il fallait se méfier de ce genre de personnes, surtout si ces sucettes renfermaient un sort comme j'en ai entendu parler.

Je rangea ma lame, après tout, c'était une trop belle journée pour faire couler du sang... Sans dire un mot, je me remis à l'endroit où j'étais assise quelques temps auparavant. Je me remis même dans la position exacte que j'étais. En revanche, je resta sur mes gardes, au cas où il attaquerait.*

La jeune femme rangea son arme, puis se rassit à sa position initial, un cycle ce fut, tout commença, puis tout se finit par un recommencement. Sa décision était sage, faire couler du sang serait inutile, nous étions aujourd'hui un jour de repos, à ne pas prendre à la légère, cela était à respecter, comme une religion, une tradition, ou cela été come si l'on ne devait pas tué d'Ambassadeur sous peine de Blasphème . L'intelligence de l'assassin se voyait, elle savait prendre de bonne décision. Pas étonnant que son assassin ait échoué, quoique même si en envoyé un autre pourrait la tuer, il retenterai sûrement. Mais Break ne le ferait jamais de sa main, car il a vu en cette fille un grand talents de sagesse. Si seulement ils n'était ennemi, peut-être aurait-il pu sympatiser pour faire de ce monde un monde meilleur qui sait ? Il commença à déguster son jambon. Vite finit, il remit les restes dans son sac, puis s'inclina poliement devant Shiori pour la saluer. Autant faire de cet rencontre quelque chose d'utile, qui aurait un quelconque intêret.

"-Je vais te laisser dans ta méditation, j'ai fini mon repos. J'ai aimé notre rencontre aussi, je vais te dévoiler mon identité en échange d'un petit service. Je me nomme Xerses Break, actuel meneur des Chevalier de l'Ordre. J'ai un message à transmettre à ton ami. Pourras tu lui dire de bientôt préparer les défense de JetRan contre une éventuelle invasion ? Je prépare moi même, en personne et d'ici peu un raid, mes armés sont rassemblé, il ne me reste plus qu'un petit détail à régler au desert des soupirs avant de commencer la marche de mon armée. En attendant, je te prirai, pour le bien de ta patrie, et ton ami, de préparer les armes de défense."

» Ennui mortel au bord du gouffre
» Petite baisse de régime.
» Petite balade dans l'ombre.