Sweety's Wall

Sweety's Wall...

Entre Prose et Poésie

Il y a des moments où ma plume est la seule à pouvoir exprimer mes sentiments. Frustration. Amitié. Joie. Peur.
Tous ont leurs parts dans ma vie... Sauf que parler... Les mots perdent de leurs valeurs lorsqu'ils sont dis.
Et ces mots je veux les partager avec vous... Partager ce petit trésor de sentiments qui n'appartient qu'à moi.
Vous pemettre de vous embarquer dans mon monde...
Un Monde où je me suis perdue...

N'Hésitez pas à me dire ce que vous en pensez ! Toute critique est bonne a prendre (sauf si c'est à propos de l'orthographe x) )

Ecoute-moi ! Regarde-moi ! Toi qui est aveugle et sourd...

Spoiler:

Mlle Sweet' for a Dumb... 22.03.10

Sous les Lumières de la Ville...

Spoiler:

Mlle Sweet' Révoltée... 23.03.10

Regret...

Spoiler:

Mlle Sweet' for Nobody... 24.03.10

Ne Pars pas...

Spoiler:

Mlle Sweet' for Nobody... 24.03.10

Tableau Noir et Craie Blanche...

Spoiler:

Mlle Sweet' Rêveuse oubliée... 29.03.10

Oublis ce que tu as espéré...

Spoiler:

Mlle Sweet' Briseuse d'Espoir... 29.03.10

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Lettre à Confiance et Confidence:

Dans les deux y'a con de toute façon,
Pour que l'on se rappelle l'erreur de faire Confiance,
Et celle de faire des Confidences...

Je ne sais pas exactement si ça servira à quelque chose, que tu me lises ou pas m'est complètement égale en fin de compte...
C'est juste un moyen de laisser couler les sentiments qui m'emprisonnent, me secouent et me brisent. Tout comme vous m'avez brisé.
Par erreur ou non, cela n'a jamais vraiment eu d'importance.

On ne se rend pas toujours compte de ce qu'on a, mais moi, je me suis rendu compte trop tard de ce que j'avais cru avoir et qui finalement se révèle mensonge ou mirage.
Tu diras peut-être que je suis un cœur de glace, car après tout, moi même je te l'ai dit, je ne ressent rien pour personne...
T'es tu déjà demander pourquoi ? Non probablement pas, tu considères cela comme un fait acquis et inébranlable. Ça n'aurait pas dû être le cas.
Tu aurai peut-être dû te demander ce qui faisait souffrir les gens au lieu de savoir ce qui ne les touche pas...
C'est une souffrance ancienne, due au déménagement, une souffrance simple qui n'a pas de nom, mais qui marque.
Les liens tissé entre nous autres, Hommes, nous définissent et nous apprennent à vivre, et lorsqu'ils se brise, nous continuons d'apprendre, mais c'est dans la douleur,
celle qui nous rend plus fort et nous enseigne nos valeurs, nos principes.
Le miens étaient juste de ne plus m'attacher... Construire une amitié solide ça prend du temps, et dès que j'ai réussis, elle a disparue, contre mon grès d'ailleurs.
Je n'y était pourtant pour rien, je ne comprenais pas, qu'avais-je donc fait pour ne rien mériter d'autre qu'un immense vide ?
Tu me diras, si jeune, se poser tant de questions inutiles. Dans un bac à sable, tu prêtes ton jouet à l'inconnu qui joue à coté de toi, et au bout de quelques secondes c'est ton ami !
Mais en grandissant c'est plus dur, plus rude aussi.
Mais les douleurs changent... de forme avant tout, d'abord c'est un déménagement soudain, et ça fini avec le goût amère d'une trahison bâclée...
Au finale, on s'attache comme on peut pour ne pas couler dans des moments pareil, mais qui peut dire si l'on s'attache bien ?
A chaque remous, on manque de rompre ce lien, que l'on croyait si fort, que l'on a tissé avec amour, amitié, ou espoir...
Pour se retrouver avec un bout de corde dans la main à se demander comme on a pu être aussi idiot..
Le plus beau lien que j'ai jamais donné s'appelait Confiance, un mot, une phrase, qui commence sur un partage complet de ce qu'est l'autre.
Un son qui finit en plainte quand elle est bafouée... On donne et l'autre reprend. Ainsi va la vie, c'est toujours plus dur quand on s'y attend pas...
On m'a beaucoup dit de ne pas faire confiance au gens qui ne sont pas de ma chair et de mon sang. Je n'ai jamais cesser de vous considéré comme tel, même si je ne l'ai pas dit.
J'ai souvent répondu que, ceux qui n'accordent pas leur confiance ne mérite peut-être pas de la recevoir.
Hélas l'inverse n'est apparemment pas possible, ceux qui la donne ne la mérite t-il donc pas ? Éthique, valeurs, promesses, ici elles rîmes avec mensonges et excuses quand il s'agit d'amitié.
Remarque, l'importance du secret valait-il une amitié ? Oui surement, je ne peux pas croire que tu l'ai fait pour rien.
Son amitié à elle était plus importante ? Je me demande encore pourquoi je me pose la question, c'était pourtant évident.
Ma naïveté me perd, sottise qu'espérer un jour ne pas avoir à se poser la question de savoir, qui mérite le plus tant la réponse nous fait peur...
Alors au fond à quoi bon ? Pourquoi s'attacher au gens qui au finale, sont les premiers à te lâcher ? Facile, on les aime et c'est comme ça.
Si j'ai eu une faute dans cette histoire c'est de vous avoir trop aimer...
J'avais juste envie de retenter le coup, voir ce que ça faisait d'apprécier, de s'attacher, de placer de l'espoir, de l'amour en des personnes...
J'étais loin de me rappeler que c'était si douloureux... Le pire c'est que je ne sais pas vraiment si je dois être en colère ou pleurer...
Pleurer... Ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé... Chialer ça sers à quoi ? Tant pis, je craques, au moins si je ne sais pas pourquoi, je sais pour qui.
C'est trop bête d'être exclusive tu ne crois pas ? D'aimer, ou de ne pas aimer sans demi-mesure, sans rien demander d'autre, qu'un peu de confiance et de partage.
Il faut croire que le sens de confiance diverge de toi à moi, ou qu'il ne veut plus rien dire, il est peut-être souffle de vent chez toi, tandis que pour moi c'est une rafale.
une envie être heureuse en vous incluant dans mon tourbillon de joie. Alors pourquoi m'en priver ? Oui j'ai envie d'être heureuse, avec ou sans vous, même si avec vous c'est mieux...
Je viens de remarquer que plus j'écris, plus je me calme et plus mes larmes se tarissent, je crois que j'ai compris comment ça marche.
Il suffit d'oublié la déception et la tristesse pour ce concentré sur la colère. Oui, c'est ça, je n'ai plus envie de pleurer, seulement de tourner la page.
Je ne sais pas encore si ça sera avec ou sans vous, je ne crois pas être là seule à avoir droit au chapitre non ?
Il me semblerai normale que tu n'ai pas envie de participer à cette autre page, avec une fille dont la colère ne se contrôle pas et la fureur n'écoute pas.
Un fille qui d'après toi n'a pas su comprendre ta position ni la sienne. Cette fille là, elle n'est pas sûre que tu l'ai comprise.
Mais ça la rassure, elle non plus... Je n'espère pas, je n'attend rien, j'essaie de reconstruire, une petite partie de moi qui prenais trop de place.
Je ne sais pas si je vous la recèderai un jour, ça dépendra sans doute de vous, cette petite place dans mon cœur, qui au finale battait pour vous...

Non décidément au finale, ça n'aura servit à rien, mais merci d'avoir lu... Même si c'est peut-être faux...
Je ne suis même pas sure d'avoir mériter un jour de vous rencontrer... Punition ou coup de chance ? Pour le moment je broie du noir, moi qui d'habitude est la pour épancher les larmes, j'ose me permettre d'en laisser couler ?
C'est pathétique est contraignant de ne pas regretter mais d'aimer tout de même non ? J'arrive pas bien à savoir, tout s'embrouille, tout se mêle, ce que je dis n'a aucun sens, et n'en aura sans doute jamais...
J'ai mal à la tête, mais ça c'est le Doliprane©, ça me fait toujours ça... Oublis ça, c'est peut-être plus confortable pour toi d'oublier que j'ai un jour pu te dire que je t'adorai.
Car c'est bien plus confortable, ne de rien regretter...

Signé: Excuse

Je N'ai Plus Peur...

Trop occupée à rêver,
J'en ai oublié de vivre.
Trop de choses se sont passées,
Sans que je puisse les saisir,
Je n'ai plus peur du passé,
Ni de mon présent qui s'éffrite,
Je n'ai plus peur de ce que j'ai louper,
Ni du temps qui passe trop vite...
Je ne pleure pas sous la pluie,
Aucune larme ne roule,
Mais tu le sais ça, de toute façon,
Pas une larme, même si mon monde s'écroule,
Ne roule sur mes joues.
Tu me rassure et me console,
Mais il n'y a rien à sauver,
Je n'ai pas peur de ce qui m'arrive,
Ni même de te blesser...
Je regarde le monde qui se déroule comme un film,
Les acteurs jouent, et le temps file
Sans que je puisse l'arrêter.
Mais je les regardent passer...
Alors je me pose des questions,
Qu'ai-je louper ?
Mais je ne trouve pas de raison,
Au mal de ne savoir aimer...
Tout se passe sans moi,
J'ai louper mon départ,
Je n'ai pas peur de tout ça,
Plus peur d'être en retard...
Je ne pleure pas quand j'ai peur,
Je ne pleure pas quand je suis triste,
Pas une larme de me quitte,
Mais ça, tu le sais de toute façon,
Je n'ai rien à pleurer...
Je ne fais plus partis de l'histoire,
Les mots dérivent sans moi,
Je n'ai plus peur du noir,
Ni de ce que je ne vois pas.
Je n'ai jamais de remord,
L'inhumain ne meurs pas,
Même quand je dis je t'aime,
L'amour, au fond, je ne le pense pas...
Je n'ai plus peur de rien,
J'accepte de ne plus appartenir à ce monde,
Qui je crois... Etait le mien.
J'ai été exclu de la ronde...
Je n'ai plus peur de rien,
Que ce soit au Début ou à la Fin,
Je n'ai pas eu le temps de me vivre,
Et tout à disparu,
Comme si l'on fermait un livre...
... Que l'on a jamais lu.

Place

Invité

Tes poèmes sont magnifiques !
J'adore particulièrement les deux derniers !

T'as un réel talent pour écrire ^^
J'aime <3

Shaoran a raison, tes poèmes sont vraiment magnifiques.

Ça me rappelle la fois où tu m'en as écrit un. J'en ai pleuré. <3

Invité

Magnifique, comme tout les autres Smile

I fucking love this !