Rencontre avec un ambassadeur

Rencontre avec Canard

Apparament, JetRan avait de nouvelles recrues. Moue, jeunes, sans experience, les critère étaient bons pour recruter du monde, surtout avec cette peur, qu'inspirait Break avec sa monté en puissance et en renommé, dont certain dise que cette renommé était non mérité. Une jeune femme à la beauté étonnante, a peine agée de 21 ans allait mené cette guilde militaire locale de JetRan nommé le fléau des lames. Apparament, c'était une femmes puissantes, connaissant beaucoup de choses, qu'il ne valait mieux vaut pas provoquer. Très puissante oui, au pouvoirs extraordinaire de contrôler les lames. En bref, une femme bien difficile à battre, sauf par mes soins évidemment. Break ayant appris la nouvelle assez tôt, il valait t-il mieux se débarrasser d'elle au plus vite. Mais il le savait, avant d'attaquer un ennemi, mieux valait-il le connaitre. Aussi m'envoya à JetRan pour une mission d'espionnage, sous ordres officiel de féliciter la promotion de la jeune femme. J'accepta cette mission, moi aussi, je ne devais pas risquer la peau des protecteurs avec cette arrivé. Il fallait casser l'oeuf avant que celui-ci éclose.

Ainsi, un jeudi matin, je parti pour une dizaine jours de voyages, vers JetRan. Traversant l'immense plage d'Aelys, pour ensuite escalader les falaises, et ceux en compagnie de 60 hommes d'élites pour assurer ma protection de ce voyage à risque, comme les bandits, les fauves, et les JetRaniens eux même, cette protection me ralentissait cependant, aussi je m'ennuyait vraiment durant cet horrible et interminable voyage. La seul chose qui me tenait en haleine était l'héroïne, un médicament que j'avais fait pour soulager mes douleur de la lèpre. Au que cela faisait du bien, et ceux, grâce à ce médicament, dont j'était un adpete et le créateur, je devint riches une époque. Mais ceux-ci fut de courte dure, car on qualifier mon médicament, mon calmant de drogue nocif. Mais bon, ce n'est pas le sujet présent, après ces interminable jours de voyage, j'arriva à JetRan. Arrivé au QG, j'entra, seul, dans l'imense batiment, dans un petit salon, en attente de cette femme.

Je soupirais en marchant des les allées ombreuses de Jet'Ran, cité du "mal" à proprement parler, bien que je ne trouvais pas Aelys beaucoup mieux. C'était juste une autre façon de vie bien différente de ces gens niais habitant une cité que l'on considérait comme belle, dirigée par des gens arrogants, vantards et peureux. D'ailleurs, j'avais rendez-vous avec un protecteur ... Ironique non, pour quelqu'un qui ne peut pas se retenir de trancher chaque parcelle de peau de ces hommes ingrats jusqu'à ce que la douleur les fasses mourir.

J'arrivais donc au lieu de mon rendez-vous, un peu en retard. J'aimais bien agacer les hommes, et je me ferais une joie de ne pas manquer à la tradition avec la personne avec qui je devais me forcer à parler.

J'avançais vers mon interlocuteur, restant debout de sorte à montrer mon agacement et que plus vite je m'en irais, mieux je me porterais.

"Si ce que vous avez à me dire prendras plus de cinq minutes, attendez-vous à perdre un doigts ou deux. Je suis une femme pressée et je n'ai pas que ça à faire de vous écouter déblatérer tout un tas d'âneries que je ne vais de toute façon écouter que d'une oreille distraite." Tout était dis, j'attendais juste que l'ambassadeur face à moi prenne la parole pour me transmettre son message. Mes paroles lui intimait juste de faire de notre entrevue quelque chose de bref et allant droit au but.

La jeune femme arriva. Une jolie bout de jeunes femme fraiche. D'un air bien arrogant, supérieur, et colérique, elle était d'après ses dires pressé, et que je lui faisait perdre son temps. Peu importe de ce qu'elle pouvait penser ou devait faire, j'avais moi tout mon temps, et de plus, j'avais farci 10 jours d'ennui, et l'ennuie était la pire chose que je devait supporter. Aussi, je devais mettre les choses au clair rapidement et vite, je n'allait pas bouger un moment, les discussion allait durer longtemps, et ce même si elle était pressé. Je m'assit, sans demander, je plia mes pied sur la petite table en face, et posa mon sac, pour y sortir un livre écrit par un certain Onoonal Dovano. Je commença à lire, et fit un signe vers le fauteuil.

"-Assis toi, tait toi, attend, puis écoute ton ainé. Il te sera judicieux de le faire, je ne suis pas venue te dire félicitation, il est bien trop facile de nos jour d'accéder au pouvoir de JetRan. Pas étonnant, vu votre manque de puissance. Non, je suis venue parler affaire, argent, et pouvoirs, mais ceci demandera du temps, alors assied toi jeunotte."

Quatre ordres en une phrase. Mon instinct me dit aussi tôt que ce type n'allait pas me plaire DU TOUT.
D'un mouvement rapide, je tirais mon épée de son fourreau, me plaça face à mon interlocuteur, et planta la lame à un cheveux de son visage, dans le fauteuil rouge sur le quel il s'était assis.

"D'une, je n'écouterais pas quelqu'un dans ton genre, de deux si tu veux un avant goût de mes compétences libre à toi, et de trois je n'ai aucun besoin de parler affaires avec un type de ton genre." Je lui avais craché ces phrases au visage, mon visage encadrés par la colère. Il OSAIT donner des ordres à quelqu'un qui ne connaissait pas sous prétexte que c'était quelqu'un de plus jeune ainsi qu'une femme? Je ne savais pas ce qui me retenait de lui trancher la gorge, mais j'avais une envie irrésistible de le renvoyer dans ses buts. Puis, enlevant mon épée du fauteuil, jugeant qu'il avait eût assez de temps pour l'observer, je partis m'asseoir dans un coin de la pièce, près de la porte. J'émis un petit sifflement qui eût tôt fait de faire venir un garde qui ferma la porte et se plaça devant, de façon à ce que nous ne soyons pas dérangés, bien que je risquais plus fortement d'être ennuyé par le seul individus présent dans la pièce.

"Quatre minutes."

"Ok, quatre minute pour lire ce que je vais vous donner, et 9 heures pour réfléchir à ma proposition."

C'est alors que je pris une grande inspiration, je fouilla mon veston blanc de soie, et je sortit de celui-ci une lettre. Je la lança sur la table, dépliant es genoux. J'attendis quelques secondes, plus précisément 4X60 secondes, le temps à Heavy de lire ma lettre.Un petit silence se laissa gagner durant quatre minutes. Et moi, je ne faisais qu'attendre qu'elle finisse de lire ma lettre. Elle contenait des donné secrète, que même Break ignore, des donné qui revolutioneront notre ère.

Un type de mon genre.. Quelle toupet, on ne respecte plus ses ainé de nos jours, c'est bien malheureux, après tout, j'ai vécu plus longtemps qu'elle, j'ai appris bien plus long qu'elle, je suis bien plus un puit de savoir qu'elle. Et a l'audace de se croire supérieur à moi. Mais bon, les jeunes d'aujourd'hui...

"-Je reste 9 heures dans un petit hotel luxieux non loin d'ici. Vous pourrez me donner votre réponse. Et donnez moi votre réponse vite, je n'aime pas attendre, je n'aime pas gacher les secondes de mes dernières années."

Ainsi, je me leva, ouvrit la porte, fit au signe au gardes de se pousser, passa, puis retourna dans mon carosse en direction de mon hotel de neuves heures. Cette hôtel était pour l'occasion peuplé de 50 immortels..

Après plusieurs heures, juste pour le plaisir de faire marronner se stupide personnage dans sa chambre "luxueuse", j'envoyais un messager lui porter mes paroles, n'ayant aucunement envie de me déplacer une seconde fois. Le message de ce dernier était simple, et quand il arriva face à ce stupide duck que je ne voulais plus voir dans ma ville, il lui transmit les mots suivants :

"Je refuse, c'est impossible, vous pouvez toujours pleurer autant que vous voulez, attendre que je change d'avis en crevant sur le pas de ma porte, essayer d'attenter à ma vie par quelque moyens que ce soit, la réponse seras toujours "NON" et j'espère que je me suis bien faites COMPRENDRE."

Après avoir prononcé ces mots, le petit messager avala de travers et tourna les talons, disparaissant aussi vite que possible en s'effaçant aux yeux de tous dans les ruelles sombres de Jet'Ran, surement en direction d'une auberge afin de déguster une bière immonde avec les quelques piécettes qu'il avait reçus.