Pré-crée : Kisuke Toshi

Kisuke est un jeune homme d'environ 1 mettre 85 pour 70 kilos. Il a les cheveux d'une couleur inhabituelle : un mélange de blanc, de violet et de bleu qui au final formera une certaine lueur d'argent se reflétant à la lumière du jour ce qui lui donne un look unique; mais le détail qui frappe chez lui lorsqu'on le regarde pour la toute première fois c'est son sourire narquois. Quoi qu'il se passe autours de lui, il sourit et a les yeux fermés ce qui lui donne un air provocateur, sournois ou encore sadique ce qui reflète parfaitement sa personnalité. Il porte un uniforme blanc en permanence et garde en permanence ses mains dans sa manche, pas très pratique me direz-vous. Cependant, si vous êtes un de ces idiots sans avenir, il se fera un plaisir de vous montrer ses mains, et les passer autour de votre gorge. Vous pourrez par la même occasion remarquer sa fine musculature, qui sera certainement capable de vous soulever jusqu'à une table d'opération.
Ajoutez à tout cela malgré sa passion envers la science, une épée rangée n'importe comment dont on ne vois uniquement le manche.

•Toc: Lorsqu'il juge quelqu'un aux capacités intéressantes ou simplement curieuse, il trace un numéro sur leur gorges. Cela lui sert à numéroter les personnes qu'il a ou va faire subir ses expériences.


Kisuke est quelqu'un de particulièrement froid et cruel, voyant chaque être comme un sujet d'étude scientifique plus ou moins digne d'intérêt. Il n'hésite pas à sacrifier ses subordonnées, et maltraite particulièrement les personnes qui se qualifient d'être supérieur ou parfait. Il affiche un caractère sadique des plus cruel, c’est ce que pensent ceux qui le voient. Lui pense que si les autres résonnent ainsi, c'est parce que ses centres d’intérêts diffèrent de ceux des autres. Mais nous ne pouvons pas dire aux personnes pensant ça de lui ont totalement tort. Le savant est capable de transformer ses propres amis en bombes humaines... Cruel ? Non, de son point de vue, c’est surtout pratique ! Son esprit scientifique le rend apparemment inhumain, mais c’est uniquement parcequ’il se comporte comme une personne sans état d’âmes et sans éthique. Qui ne tente rien n’a rien… Le progrès ne se fait pas sans sacrifices.

•Peurs: Atteindre la perfection, Ne plus pouvoir pratiquer ses expériences.
•Rêves: Être meneur d'une guilde consacré à la recherche, ou quelques chose du genre.


J'étais seul dans une rue remplit de cadavre. Des outils plus tranchant les uns que les autres, des potions de toute les couleurs... J'avais tout un arsenal à ma disposition. Mon regard se posa sur un cadavre, sans trop savoir pourquoi j'attrapais un scalpel. Instinctivement, je dépeçais le cadavre comme si j'avais fais ça toute ma vie. Et quand je terminais mon travail, je compris enfin que celle que je venais de dépecer était ma mère.

«Driiiiiiiiing» Hurla mon réveil.

D'un geste maladroit qui était destiné à l'éteindre, je le fis tomber. Le résultat fut le même que si je l'avait éteint puisque ce vieil appareil ne sortit plus un son après s'être écraser au sol. Une fois ramassé et assuré qu'il fonctionnait toujours, je me levais et me dirigeais vers la cuisine. Comme toujours, papa et maman n'étaient pas là : Ils travaillaient. J'avais quand même espéré qu'ils seraient là pour me souhaiter un joyeux anniversaire. En effet, six années étaient passé depuis l'incident avec mon ancienne école, et aujourd'hui était mon quatorzième anniversaire. Comme à mon habitude, j'attrapais mes affaires pour aller étudier, avec les autres adolescents de mon âge qui m'avaient toujours semblé inférieur. Ces idiots rêvaient de servir notre belle cité. Me concernant, je rêvais plutôt d'accroitre mes capacités intellectuels, ce qui me faisait passer pour «L'intello de service». Mais quand je subissais les moqueries de mes sois disant camarades elles ne duraient jamais longtemps car s'ils avaient l'audace de me faire affront, ils devait subir mes propos glauque et sanglant. Bref, au final j'étais assez tranquille. Je pouvais dormir sur ma table pendant que l'incompétent qui nous servait de professeur balançait son cours, et mes résultats restaient les plus haut de la classe. La journée passa à une vitesse presque étonnante. La sonnerie indiqua la fin des cours, je rentrais chez moi, j'espérais voir mes parents. J'arrivais finalement à ma maison, la nuit était déjà tomber. Je me précipitais pour voir mes parents et une fois arriver au salon, ma surprise fut énorme. Au sol gisait le cadavre de ma tendre mère ainsi que celui de mon père tandis qu'était assis tranquillement un homme sur le canapé. Intérieurement, je suffoquais. Ce type dégageait un je-ne-sais-quoi, une sorte d'aura étouffante. Il se leva puis porta sa main sur ma tête.

«Je te laisse t'amuser» Me lâcha t-il avant de disparaître.

M'amuser ? Devant un tel spectacle ? Impossible ! Et pourtant, peu à peu que je m'approchais des défunts, je souriais. Je me retrouvais à genoux devant mes parents, un rire m'échappa. Sans trop savoir pourquoi, j'attrapais un morceau de verre, sûrement un morceau d'une vitre éclaté puis commençait à découper mon père, je le disséquais comme dans mon rêve. Les minutes passèrent à une vitesse folle, mes mains étaient totalement en sang. Puis, des personnes armées rentrèrent en furie chez moi, et me trouvèrent moi et mes parents. Avec le bout de verre à la main, ils jugèrent que j'étais responsable. Responsable, du meurtre d'Ayami Toshi et d'Hakuba Toshi.



Cela faisait maintenant trois ans que je pourrissais en prison pour un crime que je n'avais pas commis. Mais au moins, même si c'est dur à dire, je m'étais tout de même bien amusé en disséquant mes parents. Découvrir à quoi ressemble le corps de l'être humain... J'avais envie de recommencer, et ça me motivais grandement pour sortir d'ici. Mais ça, c'était une tout autre histoire. La garde me surveillait jour et nuit, il m'étais presque impossible de cligner des yeux sans qu'ils me voient. Et pourtant, par un jour banal, un homme qui semblait recherché par des gardes d'Aelys passa devant ma cellule. Une bonne dizaine de garde le suivait, mais il se retrouva dans un cul-de-sac. Et tandis que la troupe s'approchait de lui arme à la main, l'un de se risqua sans faire attention contre ma cellule. Il n'avait pas du me voir, comme à mon habitude j'étais au fond dans un coin. Discrètement, je m'avançais et passais mes bras à travers les barreaux pour finalement l'étrangler. Il n'eut que le temps de hurler qu'il était mort. Le reste de la troupe se retourna vers moi, pendant que je dépouillais son corps avec difficulté à la recherche de quelque chose qui pourrait m'aider à me sortir de là. Le jeune homme plus loin qui venait juste de me remarquer comprit très vite que j'allais pouvoir l'aider à se sortir de là, à condition que lui aussi m'aide. Il me fit un simple signe de tête, puis se jeta seul contre le groupe. Il voulait sans doute me faire gagner du temps, et c'était réussi. Je n'avais pas trouver de clefs, quelques armes blanches seulement. Je m'en servis pour crocheter la serrure de ma prison. Une épée vola à mes pieds. Sans réfléchir, je m'en saisis même si je n'avais jamais appris à m'en servir. Ce n'était pas très grave, l'homme semblait très bien s'en sortir seul. Un détail me frappe, il ne tuait personne. Il devait avoir ses raisons, quant à moi je trouvais ça totalement stupide. Je n'eut pas le temps de réfléchir d'avantage qu'il se hâta vers moi lorsqu'un deuxième groupe de guerriers rentra dans la prison. Il m'attrapa par le bras, puis m'entraina dans sa fuite. J'aurais préféré rester et examiner les cadavres, mais étant donné que je lui devait ma liberté, je décidais de le suivre.

Après quelques minutes de course folle, nous nous arrêtâmes sur un toit.

«Hisashi Keishi, Bras droit des nomades d'Océriane.» Se présenta t-il en me tendant sa main.
_Kisuke Toshiro, échappé de la prison d'Aelys. Lâchais-je en faisant mine d'être indiférent à son grade, même si en réalité j'étais tout de même épaté. Je ne veux pas te déranger plus longtemps et je te dois une faveur. Cependant, ton habilité à l'épée pourrait grandement m'aider. Apprend moi. Rajoutais-je, avec une voix qui tonnait plutôt autoritaire.

Il laissa s'échapper un sourire, puis me fit un hochement de tête en signe acquiescement. Pointant l'épée que j'avais garder vers le prénommé Hisashi, j'avançais doucement sans grande assurance. Il avait certainement comprit que je n'avais aucune expériences en escrime, mais j'étais bien décidé à apprendre.


Deux hommes devant moi, chacun armé d'une épée rangée dans le fourreau. Ils s'approchaient vers moi, et dégainaient leur arme. Comme à mon habitude, je souriais, bien qu'ils n'avaient pas l'air spécialement intéressant. Ses rats de laboratoire n'avaient aucune chance contre moi, et pourtant l'un d'eux me sauta dessus, prêt à m'enfoncer sa lame dans le cœur. D'un mouvement rapide, je sortis mes mains de mes manches, puis attrapa fermement son bras, le stoppant net. L'autre type me sauta aussi dessus, je m'écartais rapidement après avoir tiré le type que je tenais de sorte à ce qu'il reçoive de pleins fouet le coup de l'autre. Effet réussi, il n'en restait plus qu'un debout. Toujours en souriant, je dévoilais ma lame. Je remarquais que mon adversaire était légèrement déstabilisé, sans doute à cause de mon sourire perturbant.

_Je pourrais essayer de t'injecter des drogues, ou peut-être même te mettre un deuxième cœur... Marmonnais-je pour moi même.

Immédiatement, l'homme jeta sa lame, et se sauva. Dommage pour lui, il n'en était nullement question. Après un petit bond, j'apparus devant lui et lui collait mon poing dans la figure ce qui eut pour effet de le projeter à coter de son partenaire, qui était mort. Il tremblais, moi je riais.

_Mais ne panique pas comme ça, ce que je vais te faire ne pourra que t'améliorer, enfin si ce que je te réserve fonctionne comme je veux ! Tentais-je de le rassurer.

Là, il se mit carrément à hurler. Je portais ma main à mes oreilles, et le regardait avec dégout. Il n'était pas question que je touche à quelqu'un qui hurlait ! Je l'attrapais par le col puis le soulevais. Cet idiot continuait d'hurler, s'en était trop. Après lui avoir collé une fois de plus mon poing dans la figure, je le jetais un peu plus loin devant moi.

_Hors de ma vue, insecte ! Lâchais-je en perdant patience.

L'insecte dépourvu de toute importance que j'aurais pu lui porté s'exécuta, et disparue rapidement de ma vue tandis qu'un bruit se fit entendre. Je lâchais un faux petit rire gêner, mon ventre criait famine. Et oui j'avais beau être un «Savant dingue», je restais un simple humain. La plus proches cité étant Océriane, je me dirigeais vers celle-ci. Après quelques heures, j'entrais finalement dans une petite auberge sympathique, en lançant une bourse de Parn et en demandant le plat du jour. Je m'installais à une table, je repensais à ses idiots que j'avais laisser filé, je le regrettais déjà.

Mais ce n'était pas grave, Akushon était un monde grouillant d'être intéressant... Et qui sait, ma prochaine victime sera peut-être toi...?



Pour commencer, laissez moi vous expliquez que les pouvoirs ne sont pas magique et ne sorte pas d'un chapeau. Votre corps évolue, et s'adapte à vos besoins. Voilà l'origine de vos pouvoir, aussi futiles soient-ils.
Me concernant, je remplace chaque partie de mon corps me portant défaut. Je n'ai donc aucunement besoin de pouvoir, puisque je suis proche de la perfection.
Cependant, j'ai tout un arsenal. Du scalpel au breuvages douteux en passant par les drogues, j'aurais de quoi vous soigner, comme vous empoisonner...


Le jeune homme garde en permanence les yeux fermé ainsi que sont sourire sadique.




Prénom :
Age:
Codes:
Comment trouves tu le forum ?
Autre ?